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Le portrait fleuve d’un monument du tatouage français

Il y a quelques jours, le site officiel du Cantal Ink ou Festival International du Tatouage de Chaudes-Aigues relayait un portrait fleuve de son fondateur, l’homonyme Stéphane Chaudesaigues, signé d’un journaliste spécialiste de l’encrage. À travers le portrait d’un cas isolé, François Chauvin dresse toute une cartographie du tatouage français contemporain. Détails de Tattoos.fr.

Tatouage VS Versailles

L’imaginaire collectif n’apparente pas forcément – loin de là – les bourdonnements sourds des machines à tatouer au caractère aseptisé de la belle Versailles. Pourtant, c’est bien dans le chef-lieu des Yvelines que commence l’existence de celui qui allait s’affirmer, dès l’adolescence, comme l’un des tatoueurs français sur lesquels compter.

Un parcours personnel et collectif

Plus proche des barres HLM que du Petit Trianon, Stéphane Chaudesaigues se rêve déjà en patriarche de l’encrage made in France. De la région parisienne où il espionne et admire Bruno de Pigalle, premier tatoueur du pays, il passera par les États-Unis (où il sera hissé, au milieu des années 1990, au rang de meilleur artiste de l’année), Avignon, le Cantal, et touchera à la convention de tatouage (le Cantal Ink) et l’associatif (Tatouage & Partage) avec la même ferveur consacrée au tattoo réaliste mêlé de mythologie.

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En quelques 2 100 mots, le journaliste François Chauvin utilise le spectre Stéphane Chaudesaigues pour dresser un état des lieux d’un destin hors du commun plongé au cœur d’une discipline de plus en plus commune : le tattoo. Pour lire le portrait sans son intégralité, cliquez :

Le portrait de Stéphane Chaudesaigues par François Chauvin

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